La première édition +Alogia 2018+ une rencontre d’échanges économiques entre le Togo et le Brésil s’est déroulée mardi après-midi à Lomé, a constaté une journaliste de l’Agence Savoir News.
Ont pris part à cette rencontre des jeunes promoteurs et entrepreneurs togolais et des opérateurs économiques brésiliens.
Axée sur le thème « Coopération Togo-Brésil, quels enjeux pour un Togo émergent ? », cette rencontre a pour objectif de faire mieux connaître les atouts socio-économiques et culturels du Togo ainsi que les enjeux de la coopération entre les deux pays.
Selon Koffi Abotsi (promoteur de la rencontre), « l’initiative est née d’une nos missions au Brésil en 2017, où l’occasion nous avait été donnée par le consulat du Togo au Brésil de rencontrer et d’échanger avec certains opérateurs économiques brésiliens. Cette initiative dénommée +Alogia+ (qui veut dire +mise en commun de nos efforts+) se veut un événement périodique qui réunira les partenaires du Brésil et ceux du Togo. C’est le lieu de saluer la détermination et la vision d’Africapital notre partenaire dans cette aventure ».
« Par cette rencontre, de jeunes promoteurs ont pensé tisser des liens économiques entre le Togo et le Brésil. Certes des liens historiques existent et unissent nos deux pays depuis des siècles, toutefois, nous avons pensé les formaliser afin d’en faire un rendez-vous annuel ou bi-annuel. Le Togo n’est pas à sa première initiative de coopération avec le Brésil, mais cette initiative a l’avantage de recevoir pour sa première édition, un partenaire et non les moindres, Practivita qui s’investit dans la fabrication et la commercialisation des aliments destinés aux cantines scolaires », a-t-il expliqué.
Une des priorités du gouvernement togolais, a poursuivi le promoteur, est de promouvoir les cantines scolaires, promouvoir et maintenir les jeunes filles à l’école.
« Le Brésil est un puissant partenaire dans presque tous les domaines et le Togo pourra bénéficier de ces atouts dans plusieurs domaines à savoir: l’éducation, la santé et de l’agriculture. Bientôt un centre culturel brésilien verra le jour où l’on pourra commencer à apprendre le portugais », a annoncé Koffi Abotsi. FIN
Abbée DJAGLO
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