On peut bien soulager les malades du Cancer: Le béninois Codjo Hountondji a présenté les résultats d’une recherche qu’il a menée

Le ministre de la Santé, Charles Agba Kondi, a présidé mardi à son cabinet, une séance d’exposé sur le traitement du cancer et les nouvelles approches thérapeutiques de lutte contre cette maladie, a constaté Savoir News.

Plusieurs responsables du personnel soignant et des journalistes, ont assisté à cette séance.

Selon le professeur biologiste, chercheur béninois, Codjo Hountondji, qui a conduit une recherche dont le résultat permettra de maîtriser le cancer sous toutes ses formes, la recherche a consisté à rechercher les molécules responsables et à ensuite trouver d’autres molécules qui peuvent l’anéantir.

« Nous avions constaté que c’est la molécule 36AL qui est responsable des tumeurs cancéreuses. Ainsi dans notre recherche, nous avons trouvé que la vitamine B6 contient une molécule dont je souhaite taire le nom, qui a une particularité qui peut annihiler les tumeurs cancérigènes », a-t-il soutenu.

Il a par ailleurs déclaré que la molécule se trouvant dans la vitamine B6, pouvant réduire à 50 % la contamination du cancer, se trouve dans les aliments comme les céréales fraîches, la banane, le poisson et la viande.

« Cette molécule peut soulager et guérir les malades du cancer du colon. Cette molécule est compatible à tous les cas de cancer. On peut même faire des essais sur les malades en phase terminale. Nous avions fait ses recherches pour soulager les malades et nous pouvons si les autorités le souhaitent, former et aider les jeunes dans le sens de l’étude pour le bien de la santé publique », a-t-il indiqué.

Le ministre de la Santé a souhaité qu’il y ait une application immédiate de la nouvelle approche, afin de soulager les malades, car c’est une joie de voir un africain faire de pareille découverte de santé publique.

« Cette nouvelle approche est un soulagement pour nos pays. Je suis certain que dans les années à venir cette recherche va faire parler d’elle pour le bien des personnes, favorisant ainsi le développement de l’Afrique. Je pense que ceux qui sont encore sceptiques verront d’un jour à l’autre, la certitude et l’efficacité de la recherche », a-t-il révélé.

Le docteur Allasane Tchapoa a pour sa part, souhaité une «utilisation clinique rapide» et si possible des « essais sur les malades du cancer en phase terminale ».

Nicolas KOFFIGAN

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